Partir pour revenir est un recueil de quatre nouvelles fantastiques.

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La poupée qui chantait

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La nouvelle débute, dure et finit avec une formidable intrigue mystérieuse avec peut-être un certain semblant de superstition. Christine, commissaire de police, se voit embarquée dans une mission professionnelle qui pourrait bien la mettre en danger - elle, ainsi que sa fille, qui a insisté pour l'accompagner. Mais arrivées à bonne adresse, elles ne se sentent pas du tout rassurées par cet endroit glauque et donnant l'impression d'être quasimment abandonné. 

J'ai lu cette nouvelle d'une traite, emportée par l'intrigue, et la plume agréable, facilement compréhensible et directe de Geneviève Steinling y est pour beaucoup.

Toutefois, la fin m'a laissée légèrement perplexe ( pas dans le sens négatif du terme ! ). Même la fin nous engloutit dans un mystère et plusieures théories aussi folles les unes que les autres.

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Le cordon est coupé

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Une nouvelle très intrigante, du début à la fin. Avec le personnage principal, qui se réveille dans une chambre d'hôtel d'où il lui est impossible de s'échapper, et qui se met alors, en rassemblant les éléments observés entre ces quatre murs, où et comment  trouver une sortie, une solution et comprendre ce qui lui est arrivé. Ce qui est étonnant, c'est qu'il nous amène sans difficulté avec lui dans ses délires, qui n'en sont finalement peut-être pas. 

Derrière tout cela, se cache une histoire de liens familiaux et la chute finale de la nouvelle va en émouvoir plus d'un !

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Marie-Carotte

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Dans cette nouvelle à la fois étrange et effrayante, nous suivons les aventures ( ou plutôt mésaventures ) de Rebecca, écrivaine pour enfants, qui a créé le personnage de Marie-Carotte. En emménageant dans une nouvelle propriété et y trouvant un miroir pour lequel Rebecca se prit instantanément d'admiration et le mit en évidence dans sa nouvelle demeure, sa vie paisible et son quotidien tranquille vont bousculer peu à peu après la découverte d'une étrange gravure minuscule sur le miroir, plutôt effrayante. 

Il s'agit d'une nouvelle captivante, pleine de surprises. Face à tant de suspens, on a beau emballer l'entièreté de notre imagination pour essayer de décrypter la fin, mais la chute se révèle finalement très surprenante.

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L'Esplumoir

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Dans cette quatrième et dernière nouvelle, nous allons voyager au-delà du temps avec Victor, le personnage principal, écrivain. 

Pareille aux autres, c'est l'intrigue présente du début à la fin qui accroche le lecteur, qui finira la lecture surpris, continuant à y penser en essayant de donner un sens ou une explication à ce qu'il vient de lire.

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Geneviève Steinling sait en génie faire en sorte que l'on ne fasse plus qu'un avec le personnage pour rentrer dans son monde mystérieux ; en effet, les personnages de ses nouvelles sont des gens comme vous et moi mais à qui vivent des choses inexpliquées. Immanquablement, nous nous sentons impliqués dans leur histoire avec eux, avec l'impression de vivre une expérience hors de commun.

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Et si nous allions plus loin et nous posions une question une peu dingue ; Comment réagirions-nous, si un jour, une expérience semblable devait nous arriver ?